mercredi 30 novembre 2011

La grande arnaque de la crise

La crise.
Quelle crise ?
C’est quoi ce mot qui sort de la bouche de tous ceux qui disent ce con leur dit de dire.
Journalistes inconscients et «inscients» qui lisent leur prompteurs devant des milliers de personnes avec cet air de suffisance du «moi-je-sais». Ou ces politiciens qui cachent leur incompétence, voire leur lâcheté derrière ce mot.
Il n’y a de crise que parce qu’on dit qu’on est en crise.
Moi je ne suis pas en crise, je n’en ai pas envie. Je regarde autour de moi.
Je vis tous les jours avec des entreprises que je cotoie, que ce soit dans des domaines aussi variés que la médecine, le commerce de l’huile d’olive, le théâtre, les voyagistes, le bâtiment (on voit des grues partout), les imprimeurs, le graphisme bien sûr, qui fonctionnent bien, qui font des bénéfices, sans parler des commerçants qui se gavent, et tant mieux pour eux, avec les cadeaux de noël…
Oui les agriculteurs ont des difficultés, certaines professions aussi mais ce n’est pas nouveau ni du à la «crise».
Ceux qui disent «crise» sont ceux qui veulent la provoquer pour en profiter et nous y faire croire pour mieux nous faire accepter «l’austérité», car bien sûr c’est de notre faute cette crise, nous sommes trop dépensiers et ne payons pas assez d’impôts, sommes trop endettés, ne travaillons pas assez ou sommes trop souvent malades, partons trop jeunes à la retraite… Voilà la cause de la crise disent-ils, relayés par les journalistes les plus cons c’est-à-dire ceux qui sont les plus en vue et les plus souvent écoutés et qui finissent par y croire eux-mêmes à cette crise fantôme.
Il n’y a pas de crise. Qu’on se le dise, qu’on regarde autour de nous et il n’y aura plus de crise.
Christian Debanne

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